La captation naturelle et artificielle du carbone
Le dioxyde de carbone (CO2) émis par les activités humaines dans l’atmosphère depuis le début de l’ère industrielle est à l’origine du changement climatique. Une partie de ces émissions est captée dans les forêts, les sols ou les océans via des mécanismes naturels. La captation de CO2 peut également se faire de manière artificielle.
Pourquoi on en parle
La COP26, la 26e édition d’une conférence des Nations unies sur le changement climatique, s’est tenue à Glasgow, en Écosse, du 1er au 20 novembre. Près de 200 pays ont accepté le pacte de Glasgow, qui appelle les pays à « intensifier les efforts vers la réduction progressive de l’énergie produite à partir du charbon » et à « l’élimination des subventions aux énergies fossiles ». Si la stratégie principale est de diminuer les émissions de CO2 à la source, sa séquestration, c’est-à-dire le stockage à long terme du CO2 hors de l’atmosphère, est aussi une technique envisagée pour atteindre les engagements de l’accord de Paris signé en 2015 dans le cadre de la COP21.
En schéma

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