La difficile prévision des séismes
Les données récoltées par les instruments de mesure implantés dans le monde entier ont permis d’identifier les grandes régions sismiques du globe. Mais il n’existe toujours pas de méthode scientifique capable de prévoir les séismes avec précision.
Pourquoi on en parle
Un violent séisme a touché le sud de la Turquie et le nord de la Syrie le lundi 6 février. Les secousses ont causé à ce jour la mort de plus de 40 000 personnes dans les deux pays, principalement en raison de l’effondrement de plusieurs centaines de bâtiments. Les magnitudes de ces deux séismes, qui quantifient l’énergie libérée par des secousses sismiques, étaient respectivement de 7,8 et 7,5 sur l’échelle de magnitude dite « de moment » [voir l’infographie ci-dessous]. Les secousses étaient telles qu’une crevasse de plusieurs kilomètres de long s’est formée en surface dans la région de Hatay, dans le sud de la Turquie. Le pays est situé dans une zone de forts risques sismiques. De nombreux pays, dont ceux de l’Union européenne, ont envoyé des équipes de secouristes dans les zones sinistrées.
En schéma

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